« C’est quoi le bonheur ? ». J’ai demandé à ChatGPT !

C’était une blague au départ : des copains qui se demandent si l’intelligence artificielle va les remplacer au travail, et si bientôt les psychologues, coachs et autres accompagnants seront obsolètes.
Alors moi aussi, je me suis prêtée au jeu. J’ai donc décidé de créer une série « J’ai demandé à ChatGPT ».
Pour cette première, je l’ai donc questionné (ou prompté pour les techos) :
C’est quoi le bonheur ?
Et je n’ai pas été déçue ! Voici sa réponse mot pour mot :


Oh il n’est pas mauvais, pardi !
Et si j’ai besoin d’une réponse concise que je puisse l’envoyer à des amis dans un groupe Whatsapp ? (Salut Laura ! :)) )

Au vu de la pertinence des réponses, j’ai demandé à ChatGPT quelles sont les questions que la majorité des gens se posent. Il m’a donné les thèmes des 20 épisodes de la série « J’ai demandé à ChatGPT ». Rendez-vous donc aux prochains épisodes… Suspense !
Mais sans vous spoiler, ce ne sont pas les questions avec lesquelles mes consultants viennent en séance, « ouf ! me voilà rassurée ! « .
« Minute, papillon ! »
Très souvent, ces questions tournent en arrière plan, sous-jacentes à des états de mal-être mal définis et peu exprimés. Des questions que nous nous sommes tous interrogés à un moment donné de notre parcours, parce qu’en définitive, nous sommes tous humains, tellement différents et tellement proches à la fois. Et ce serait plus enrichissant de découvrir les réponses que chacun a pu trouver à ces questionnements existentiels, aussi anciens que notre humanité.
Alors, pour vous, c’est quoi votre bonheur ?
.
Quoi ? Je ne vais pas échapper à la question ?
Voici donc ma modeste contribution à la philosophie du bonheur :
« Le bonheur est un concept très subjectif. On se le fabrique soi-même, sur-mesure, avec la satisfaction personnelle, les joies simples, la gratitude, la réalisation de soi et la connexion équilibrée aux autres. »
– C’est bibi
« Très subjectif » car il est sidérant comment le bonheur de l’un peut sembler un enfer pour un autre.
J’ai volontairement omis les influences plus ou moins contrôlables sur le bonheur, tels que la météo (salut grisaille !), la situation socioéconomique ou financière ou encore la santé. Certes, ces paramètres peuvent être source de malus dans sa quête du bonheur, mais leur poursuite ne garantit pas le bonheur, elle peut même en éloigner. Observons par exemple :
- Pourquoi les pays les plus riches ne sont pas les plus heureux ?
- Pourquoi trois pays nordiques (salut grisaille ! bis) se classent dans le top trois des pays où les gens sont les plus heureux ?
- Pourquoi ceux qui développent une obsession pour la santé sont loin d’être heureux ? (coucou hypocondrie !)
Certes les gens placent à 75% la santé comme la plus grande source de bonheur, pourtant la plus longue étude sur le bonheur, faite par Harvard, a indiqué que certes les gens qui sont heureux sont en bonne santé, mais c’est surtout la santé des relations sociales qui est à la fois prédicteur de bonheur et de bonne santé.
Enfin, le « fait par et pour soi-même » permet de prendre la totale responsabilité et donc POUVOIR personnels sur le ici et maintenant, et ainsi, malgré le passé, les challenges et les incertitudes, se donner enfin l’autorisation d’être heureux.
Et vous ? Quel est votre prochain pas pour aller vers votre bonheur ?